Entraide et remorquage : l’union fait la force

Quand la batterie ne répond plus…

Plus que jamais, le chapitre des recommandations a montré son utilité : vérifier l’état de son installation, s’assurer du bon fonctionnement et de la charge de la batterie...
Le rendez-vous, sans être trop matinal, était tôt pour cette première sortie de l’année. De quoi obliger les patrons à préparer leur bateau avant le lever du jour. Et d’user abondamment des lumières et feux de navigation. Pas un problème quand le moteur tourne. L’alternateur recharge. Mais il faut penser à éteindre les lumières dont on n’a plus besoin quand la lueur du jour permet de s’en passer. Voire éteindre les appareils de navigation (GPS et sondeur…) quand le bateau est au mouillage.
Panne bête et idiote
Car la surprise au démarrage peut être grande. C’est notamment ce qui s’est produit pour notre président qui n’a pas éteint ses plafonniers suffisamment tôt. Résultat : pas de courant pour entrainer le guindeau permettant de remonter une ancre lourde et impossible à relever dans le courant marin… Pas de courant démarrer…. La panne totale, bête et idiote.
Faire un bon bout de remorquage
Un premier bateau s’est approché pour tirer un bout attaché à la ligne de mouillage. Puis un second, Pierre, transformé en « Saint-Bernard de la mer », pour hisser l’ancre avec un cabestan. Il ne restait plus qu’à passer le bout de remorquage parfaitement équilibré pour éviter les à-coups et rentrer à cinq nœuds au port de plaisance où les copains, rentrés plus tôt, attendaient le bateau afin de le guider au mieux dans un emplacement en attendant la recharge de la batterie…
PatGob

Conseils parus dans FNPP ici

 

2 Comments Posted

  1. Merci les amis pour votre esprit de solidarité, cet esprit entretenu depuis très longtemps à l’APPLH, esprit qui a encore fait ses preuves aujourd’hui, notre amitié n’est pas une légende….
    Belle journée de pêche hélas qui se termine mal avec cette stupide panne de batterie.
    Cette panne aurait pu être évitée en étant plus attentif. Les trois plafonniers étaient restés allumés depuis le matin bien avant le départ officiel, plus le sondeur, la VHF etc…
    Fort de cette expérience, il faut en tirer une conclusion, une 2è batterie n’est pas du luxe. Ce deuxième équipement m’aurait permis un démarrage.
    Tirons en une leçon : soyons toujours tous très vigilants avant de quitter notre lieu de pêche, un petit coup d’œil pour vérifier qu’il n’y a pas de problème, et que l’on ne laisse pas un copain avec des soucis moteur, carburant…ou batterie.
    Merci à nos Saint Bernard des mers.
    Toute mon amitié à vous tous
    DD

Leave a Reply